par Matthieu Giroux
L’ascension de la société humaine s’explique par différents facteurs. Tout d’abord Homo sapiens, depuis sa naissance, a été un individu social de plus en plus créatif et sensible. La créativité de l’humanité s’est révélée par la maîtrise de la nature et de ses pouvoirs révélés. La compréhension de la nature a permis la naissance de homo sapiens. Lorsque l’Afrique était un grand désert, les 1000 premiers homos sapiens ont maîtrisé les marées, dans les plages africaines, pour ensuite repeupler la Namibie, puis, au fur et à mesure, peupler la planète, par la maîtrise du feu.
Lorsque homo sapiens se trouve face à une difficulté semblant insurmontable, Homo sapiens a cette faculté inégalée de gagner une sensibilité immense, pouvant, soit lui causer des troubles, soit réveiller en lui une créativité pratique et cognitive, lui permettant d’anticiper les autres et son environnement.
La maîtrise des marées a créé l’espèce humaine en Namibie. Les prophètes connus par l’espèce humaine ont existé par exemple par la Maât. La Maât est celle que vénère le Maât, qui est le prophète donc l’homme autorisé à agir pour les Maâts, qui sont l’ensemble des femmes prophétiques l’aidant à agir. Vous pouvez vous référez à la librairie Tamery à Paris, mise en valeur par Jean-Charles Coovi Gomèz, se disant kémite signifiant résistant pour moi. Il est parmi tous les kémites donc les frères kémites donc amis de combat spirituel. On les voit comme acteurs, puis comme des disciples ou élèves étudiant l’Égypte, l’arabe et le français de Champollion, langues permettant de libérer les langues africaines par l’afrikaan selon moi.
On pourrait voir les kémites comme une classe, mais le mot kémite permet justement d’éviter cette dérive. Il s’agit de libérer un savoir qui nous a permis d’évoluer pour nous libérer nous-mêmes, que ce soient d’abord les kémites ou résistants, puis nos relations et ceux qui cherchent le bonheur. Ils ne suivront plus machinalement des croyances ne pouvant exister dans la nature. On découvre la liberté puisque la liberté est la découverte de sa recherche de vérité. Tous la voudront alors pour la connaître avec peur pour s’apercevoir que la liberté fait peur pour devenir heureux.
On se défie soi-même par une vérité naturelle que l’on ne comprend pas, vérité naturelle qui nous défie donc par ce sens donc cette signification nous orientant de plus en plus en nous, ne pouvant être oubliée parce que comprise puis repoussée pour être transformée, puis rejetée vers une autre vérité, l’une des deux prenant alors la place de l’autre.
On s’aperçoit alors qu’aimer demande d’agir sur les autres pour se comprendre soi surtout. Des écrits que nous ne pouvons expliquer se révèlent à nous, au mieux physiquement parce que nous y avons crus par sens et amour comme étant une cause à divulguer pour changer la société. Ce peut être une cause spirituelle permettant d’être heureux, une cause naturelle si nous comprenons la nature demandant de connaître les plantes effectivement, mais l’humain surtout, celui que nous ne sommes pas.
Être heureux c’est se connaître, donc connaître son histoire, celle qui nous fait peur, puis notre belle histoire que notre peur nous cache pour ne pas nous faire mal, parce que nous ne connaissons pas cette simple liberté libérant cette incompréhension de ce qui nous entoure. Il ne s’agit pas de plus avoir peur dans notre monde, mais de comprendre nos limites et celles des autres, ce que font les prophètes selon la Maât.
Les écrits ont donc prophétisé ces humains. Les prophètes et disciples se sont aussi cachés selon les recommandations de la Bible. Devenir prophète ou disciple c’est réveiller cette créativité sensible par l’intuition et la prière, en cherchant son bonheur puis le bonheur par ses amis puis les amis, puis Dieu si sa cause est la vérité humaine, par la capacité à réfléchir avec les autres, avec le dialogue et ses intelligences. Ce dialogue, mu par un gros problème résolu, qui aurait pu anéantir d’autres homos sapiens moins préparés, révèle chaque jour une vérité avec les autres. Ainsi ces humains parlent de foi en l’autre, parce que le dialogue avec la population et les plus mauvais exemples renforcent leur ego, leur créativité, donc leur foi. On pourrait aussi trouver la même dynamique chez les grands découvreurs et scientifiques de l’humanité. Pour eux, la gloire ne sera pas réellement que l’on se souvienne d’eux, mais qu’on se souvienne de leurs paroles ou écrits, pour que la société évolue, afin de faire aussi bien que le créateur de la vie.
Il y a aussi en l’humain cette envie d’aller vers l’inconnu, de le découvrir. L’asiatique n’a pas peur des différences. Il s’est marié avec d’autres espèces humaines plus facilement. La calligraphie chinoise a commencé notre parcours philosophique, notamment avec Confucius. L’amérindien a réussi à diversifier les gênes humains, en découvrant les terres les plus éloignées de l’Afrique. Aussi l’africain a gardé le plus grand patrimoine génétique de l’humanité. Il a cette foi inégalable en la vie, en la société, en la nature, en la science donc, malgré les épreuves traversées.
La peau blanche nous vient des arabes. On peut dire que les arabes d’aujourd’hui aiment le chaud. L’européen et l’asiatique ont créé une société avancée, par la maîtrise d’un climat difficile et d’une nature riche et difficile à maîtriser. Les grecs ont continué l’envolée philosophique humaine des asiatiques.
En transformant les marécages en champs, la réflexion scientifique de Platon permettrait, avec les africains, de créer, dans le monde, un nouveau bond en avant, un développement humain par une meilleure qualité de vie.
Tous les animaux ont peur du feu, sauf l’humain. De là vient la création de l’économie humaine. La maîtrise du feu a permis de garder les aliments plus longtemps. Cela a donné plus de temps pour la réflexion. Cela a donné envie de chercher toujours plus à maîtriser la nature. La hache a permis la sédentarité et les premières maisons. Malgré tout, nos ancêtres passaient beaucoup de temps à survivre, à travailler beaucoup pour obtenir peu.
L’élevage et la culture ont permis de créer les premiers villages, avec des sociétés organisées et spécialisées. Après l’énergie de la biomasse, l’humain s’accapare alors l’énergie et le bienfait de l’élevage, pour accroître sa population, avec moins d’efforts à fournir. Il ne tient qu’à une société respectant ses citoyens de respecter les animaux. La société humaine ne peut exister que par l’avantage d’autrui.
Puis, le commerce a créé l’écriture, utilisée au début par la noblesse pour comptabiliser. L’association entre les individus et les sociétés s’est accrue. Ces différents bons technologiques peuvent se résumer ainsi_ : L’économie de travail grâce à l’énergie, par l’association des éléments, puis des humains, des sociétés, des nations.
Les sociétés qui maîtrisent le mieux l’économie de travail sont aussi les plus cultivées et les plus riches. Seulement, des dirigeants cultivés ne sont souvent pas aussi sensibles que leurs parents, n’ayant pas eu à résoudre de gros problèmes. Ce défaut de toutes nos sociétés révèle alors notre caractère animal. Ce défaut est résolu par la population créative de l’humanité, souvent peu nombreuse, car être créatif demande à se confronter à la vérité des autres. Si cette population est mise à mal, une société ou civilisation est alors anéantie. Si la population créative est augmentée ou favorisée, de grands bonds industriels puis scientifiques ont lieu, dont la cause est due au développement de la sensibilité créative, au mépris des lobbies ou pouvoirs jaloux. C’est ainsi que la société humaine se développe constamment, les écrits gardant les acquis.
Plus les personnes complémentaires ou les familles seront proches, plus le dialogue et l’association seront favorisés, plus il y aura de richesses intelligibles et matérielles, plus ce dialogue et cette association permettront de réaliser des outils, ou denrées élaborées, de qualité. Une société qui aura compris cet enjeu se développera très vite. De grands noms se créeront dans la population sensible, créative et rebelle. Ainsi une société, appelée empire, qui individualisera, se perdra, parce que l’humain ne se comprend que par le lien et le dialogue. Les liens entre idées permettent l’association des éléments.
En 2016, il reste toujours des éléments qui demandent à révéler leurs pouvoirs. Il reste toujours des champs à créer, plus qu’on ne l’imagine. L’humain a cette créativité qui permettra à des humains d’égaler Dieu, en découvrant l’organisation de l’univers et de la vie, vérité cachée.
Mes Notes
Lire les livres de Henry Charles Carey ou de maître Eckhart. Écrire pour devenir un économiste scientifique pouvant comprendre notre nature donc, ou un humaniste donc quelqu’un voulant se comprendre par les autres.
Mieux on serait un humaniste scientifique donc quelqu’un qui se comprend par sa nature et celle des autres, nature qui est ce qui organise la matière imparfaite.